Est-ce parce que l’on est atteint d’une ALD (affection longue durée) ou que l’on souffre d’un handicap moteur ou mental que l’on doive nécessairement subir la double peine et renoncer à sa sexualité et à celle de son partenaire? Bien entendu que non. Il existe des alternatives et des solutions permettant aux malades et à leurs compagnons de continuer ou de reprendre une vie sexuelle. De plus, les impacts positifs d’une sexualité satisfaisante sur l’état physique sont nombreux. Mais il est vrai qu’il est recommandé de s’ouvrir du sujet auprès d’un médecin puis d’un sexothérapeute. Par ailleurs, les femmes sont tout aussi exposées que les hommes aux MST (maladies sexuellement transmissibles) et IST (infections sexuellement transmissibles) et, comme eux, doivent prendre leurs précautions. Celles-ci consistent notamment l’utilisation de préservatifs et de seringues neuves, au recours au dépistage et en une surveillance médicale régulière.
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Les MST chez les femmes
Voici une explication brève et claire, parfaitement illustrée, du phénomène des infections sexuellement transmissibles dans l’appareil génital féminin et tout particulièrement de leurs conséquences sur la fertilité.